Après de nombreuses recherches et de multiples lectures – parce que l’on trouve un peu de tout et n’importe quoi – j’ai retenu une première idée qui nous vient d’une soit disante ressemblance avec la forme de notre cœur, plus particulièrement le cœur de bœuf, car au Moyen-Age, il était interdit par l’église catholique d’avoir recourt à une autopsie.
Bon, cette explication me laisse perplexe…
J’ai poursuivi et ai trouvé une autre idée que j’ai trouvé rigolote : cette fois-ci, il faut remonter à nos ancêtre les Vikings, qui trouvaient que le « postérieur enrobé » de leur compagne avait la forme d’un cœur, leur donnant subitement des envies d’avoir de la descendance !….
vikings
Je vous avais prévenu, c’est un peu farfelu !
Enfin, je suis tombée sur une thèse plus plausible, celle-là, qui de plus, se recoupe dans plusieurs sources. En fait, la forme du symbole viendrait de la feuille de lierre.
Dionysos2
En effet, dans l’Antiquité, la feuille de lierre était souvent associée à la feuille de vigne et ornait les vases grecs et romains. Cette association avec la vigne s’est étendue au dieu de la vigne, du vin, de la bonne chaire, et de la sensualité, c’est à dire, Dionysos de la mythologie grecque, ou Bacchus de la mythologie romaine.
vase dionysos
De plus, à la résistance, bien connue, du lierre, on l’a associé à l’amour durable et solide. Ainsi, la feuille de lierre devint au cours du temps un symbole à part entière, ne faisant plus seulement référence à la plante, mais à l’Amour. Au Moyen-Age, la forme de la feuille de lierre rattachée ainsi à l’Amour devient rouge, d’où le cœur rouge.
lierre rouge
La couleur rouge était directement rattachée à la couleur du sang, parce qu’à l’époque, on était convaincu que les sentiments humains provenaient du cœur, voilà l’explication la plus plausible de l’association de la forme du cœur avec notre organe